À l'occasion de la récente Journée mondiale de la radio, Michel Sourget, journaliste à la radio nantaise Alternantes FM, m'avait posé quelques questions. L'interview, d'une trentaine de minutes, est désormais disponible à cette adresse:
https://www.alternantesfm.net/emissions/le-paysage-radiophonique-en-france-apres-1981/
J'ai donné quelques autres entretiens récemment, j'en parlerai peut-être prochainement si je ne suis pas trop occupé par mes écritures en cours.
Un entretien qu'on ne verra jamais, c'est celui qui fut filmé il y a environ trois mois par France 2. Ci-dessous, une photographie "de plateau". Beaucoup de moyens pour pas grand-chose, me semble-t-il. Mais il faut bien faire vivre: 1) les producteurs; 2) les journalistes; 3) les techniciens; et 4) les propriétaires des lieux de tournage. Je n'en dirai pas plus, pour ne pas contrister les assujettis à la redevance, mais je le pense très fort.
De toute façon, il n'en est rien sorti, puisque l'interview a été sabrée au montage. À une des nombreuses questions un peu débiles posées par la journaliste, je répondis ce qui me semblait le plus juste. Réaction de cette dernière: "Mais vous cassez mon sujet!".
Règle numéro un: toujours aller dans le sens des journalistes de télévision, "être bon client" et se contorsionner pour rentrer dans la boîte qu'ils nous ont assignée.
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